Le mouvement des militants croissants a créé des vagues tout au long de Singapour, perturbant les séances du Congrès du Parti d’action (PAP) (MPS), provoquant un conflit avec les législateurs et soulevant les préoccupations concernant l’impact sur les résidents qui demandent de l’aide.
Le dernier incident s’est produit mercredi 12 mars à la succursale de Chong Pang de K Shanmugam, provoquant des histoires capturées par des caméras alors que deux femmes l’ont confronté sur les mensonges en ligne et la protection contre la manipulation (POFMA).
Le militant identifié en tant que membre du groupe de solidarité palestinien lundi n’était pas un résident de la circonscription de Shanmugam.
Selon le ministre, ce n’était pas un incident isolé. Le groupe perturbe les législateurs de plusieurs circonscriptions, y compris des zones dirigées par des ministres tels que Desmond Lee et Josephine Theo.
Ils ont été accusés d’avoir créé des obstructions pour provoquer des représentations négatives du député et de leur équipe, sapant le but de ces séances.
« Ces militants ciblent les législateurs, un lieu clé pour les résidents pour demander de l’aide pour les problèmes d’urgence tels que le logement, les besoins médicaux et l’emploi », a déclaré Shanmugam dans un article sur Facebook.
Il a souligné que ces séances ne sont pas destinées à des plateformes de protestation politique, mais plutôt à fournir un soutien à ceux qui traitent des luttes personnelles et familiales.
Dans le conflit, les deux sœurs se sont enfuies à Shanmugam pour avoir menti lorsque le député a expliqué que c’était principalement pour les résidents.
Malgré un comportement destructeur, notamment le « co-sicler » et l’utilisation de gestes agressifs, Shanmugam a déclaré qu’après avoir soutenu les résidents, il est resté ouvert aux discussions sur Pohuma.
Cependant, il a clairement indiqué que leur approche contradictoire était inappropriée pour un tel cadre.
Le PAP a exprimé son inquiétude quant aux tendances croissantes de ces perturbations, en particulier par les non-résidents, car elle sape la nature équitable et secrète des législateurs.
Les parties ont souligné que ces séances devraient être des espaces où les préoccupations des résidents peuvent être entendues sans interférence dans les manifestations externes.
Les bénévoles soutenant ces séances relèvent également des provocations et des accusations que PAP décrit comme injustes et injustes.
Shanmugam a souligné la nécessité d’un dialogue respectueux, exhortant les militants à trouver un chemin approprié pour leur cause sans perturber les principales sessions de soutien aux résidents dans le besoin.
PAP s’est engagé à continuer de s’assurer que ces séances restent un espace sûr et respectueuse pour ceux qui comptent sur eux.