L’accord commercial britannique n’inclut pas les «réductions ou concessions» de la taxe sur les services numériques, qui, selon les hauts responsables britanniques, aurait fait partie des négociations. Les taxes sur les revenus des sociétés technologiques mondiales sont depuis longtemps des bogues avec les États-Unis.
Les responsables ont également confirmé que le Royaume-Uni réduirait les titres tarifaires de 25% sur les automobiles, l’acier et l’aluminium, ainsi que de réduire les quotas pour les coupes. La taille et les quotas des autres coupes sont encore inconnus.
Le Royaume-Uni devrait également réduire ses propres tarifs sur les exportations américaines d’automobiles et de produits agricoles, mais n’offrira que des concessions aux États-Unis, pas à d’autres partenaires commerciaux.
Les experts commerciaux mettent en garde contre ce risque de soulever des questions juridiques quant à savoir si ces transactions sont compatibles avec les règles de la «nation la plus favorable» de l’Organisation mondiale du commerce, exigeant que les concessions tarifaires soient également fournies à tous les partenaires commerciaux.
Cette règle peut être exemptée si deux pays ont des contrats commerciaux bilatéraux qui couvrent «pratiquement tous les échanges» qui réduisent les tarifs entre les deux partenaires. On s’attend à ce que les responsables britanniques soutiennent que la fourniture de réductions aux États-Unis en priorité est légale car ils font partie d’un «accord plus large».