Déverrouiller gratuitement le verrouillage de digestion de l’éditeur
Le rédacteur en chef FT Roula Khalaf sélectionnera vos histoires préférées dans cette newsletter hebdomadaire.
Le Hamas a laissé trois autres hommes israéliens hors du bureau à Gaza samedi.
Les Israéliens ont été remis au Comité international de la Croix-Rouge en cérémonie élaborée et mise en scène à Khan Yunis, le centre du Hamas, où une grande partie de la bande de Gaza du sud a été détruite.
Les responsables israéliens disent qu’ils ont été pris en otage de la maison du Kibboutz Nil Oz lors de l’attaque contre Israël par des groupes extrémistes palestiniens le 7 octobre 2023.
Sagui Dekel-Chen, Sasha Troufanov et Iaiir Horn, du moins physiquement, semblaient être en meilleure forme que le groupe précédent d’otages masculins décharnés sortis le week-end dernier. Au cours de la cérémonie, les combattants du Hamas ont montré des armes et des uniformes capturés dans des bases militaires israéliennes lors du raid transfrontalier de 2023.
Israël devrait libérer plus de 350 prisonniers palestiniens dans des conditions de cessez-le-feu plus tard samedi.
Après que le Hamas ait affirmé qu’Israël violait un cessez-le-feu en bloquant les machines lourdes dans Gaza, nettoyant les frottements de carreaux et les maisons mobiles pour abriter des centaines de milliers de civils déplacés, l’accord s’est effondré plus tôt cette semaine.
Le Hamas a menacé de retarder la libération des otages si Israël ne fait pas la promotion de la saisie de l’équipement, comme l’exige l’accord de cessez-le-feu.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a répondu en déménageant des troupes près de la frontière de Gaza dans le sud d’Israël, promettant de reprendre les attaques contre le Hamas si les versions n’étaient pas effectuées comme prévu.
Le lendemain, les médias arabes ont diffusé des images de machines lourdes qui arrivent par l’Égypte, et vendredi, le Hamas a accepté de poursuivre la sortie de l’otage stupéfiant.
Cette semaine, la nécessité d’un abri à Gaza est devenue de plus en plus urgente à mesure que les tempêtes hivernales ont frappé les enclaves côtières. Environ 2 millions de personnes ont évacué et vivent dans une vaste ville de tente et des ruines à proximité.
La majorité des prisonniers palestiniens prévus samedi ont été détenus sans procès dans les prisons israéliennes après avoir été détenue à Gaza pour 15 mois de guerre. Plus de 48 000 personnes ont été tuées dans la bande assiégée depuis le début de la guerre, ont déclaré des responsables locaux.
Le cessez-le-feu en trois étapes est une période de transition entre les première et deuxième phases, au cours desquelles des négociations devraient avoir lieu pour mettre fin à la guerre.
Au cours des six premières semaines qui se terminent début mars, le Hamas devra libérer 33 otages israéliens, y compris tous les enfants, femmes et hommes de plus de 50 ans. Samedi, 24 ans a été libéré. Beaucoup des 73 otages restants seraient morts.
Le groupe a initialement acquis environ 250 otages le 7 octobre 2023. Environ 120 ont été libérés lors d’un cessez-le-feu d’environ 120 en échange de centaines de prisonniers palestiniens en novembre 2023.
Si les négociations réussissent à convertir un cessez-le-feu temporaire en un cessez-le-feu permanent, le Hamas libère les soldats masculins capturés et commence à remettre les corps des otages morts. Il obligerait Israël à retirer ses forces de Gaza pour toujours.
Ces discussions devaient commencer la semaine dernière, mais Israël n’a pas encore déployé des équipes de haut niveau au Qatar ou en Égypte.
Le cadre du cessez-le-feu est de plus en plus tendu en raison de la rage opérationnelle et des affirmations répétées du président Donald Trump selon lesquelles le président américain est destiné à reprendre Gaza.
La proposition de Trump, qui pourrait conduire à l’expulsion de masse d’environ 2,3 millions de civils palestiniens, a encouragé Netanyahu, s’appuyant de plus en plus sur la fin de la guerre avec le Hamas.
Trump a accueilli le roi Jordan Abdullah à la Maison Blanche cette semaine, répétant son affirmation selon laquelle la Jordanie et l’Égypte prendraient le contrôle des réfugiés malgré la dénonciation généralisée des plans pour le monde arabe.