L’économie indienne s’est produite robustement au cours de l’exercice 2024-25 (FY2025), avec une croissance réelle du PIB de 6,5% en raison de la forte demande intérieure, des activités résilientes de consommation rurale et de flottabilité, selon l’examen économique mensuel du ministère des Finances en mai 2025.
Cet élan a été particulièrement notable au cours du trimestre de janvier à mars (quatrième trimestre), la croissance accélérée à 7,4% en glissement annuel, avec du carburant principalement fourni par une forte expansion de 10,8% des activités de construction et une augmentation de 7,3% de la production de service. Des secteurs tels que l’immobilier, l’hospitalité et les technologies de l’information ont apporté une contribution significative à la croissance des services, mettant en évidence la résilience structurelle de l’économie malgré les vents contraires mondiaux.
Les activités de l’agriculture et de l’alliance ont également soutenu l’économie, bénéficiant d’une saison de récolte favorable et d’une intervention gouvernementale visant à stabiliser l’offre et les prix alimentaires.
En termes d’inflation, le rapport a mis en évidence un soulagement accueillant pour les consommateurs. L’inflation au détail s’est déroulée à 2,8% en mai 2025, le niveau le plus bas depuis février 2019, avec une inflation alimentaire inférieure à 1%. La modération a été attribuée à une production de cultures saines et à des mesures politiques efficaces, notamment les versions stratégiques de l’inventaire alimentaire.
En réponse aux pressions inflationnistes pour l’assouplissement, la Reserve Bank of India (RBI) a réduit son répat de 50 points de base en juin, à 5,5%, marquant une réduction cumulée de 100 points de base depuis février 2025.
À l’extérieur, les performances commerciales de l’Inde ont montré des signes de reprise. Les exportations totales du pays, combinant des biens et services, ont augmenté de 2,8% en glissement annuel à 71,1 milliards de dollars en mai. Pendant ce temps, le déficit commercial est passé de 10,5 milliards de dollars en avril, soutenu par une baisse des prix du pétrole brut après un assouplissement géopolitique en Asie occidentale, contre 10,5 milliards de dollars en avril.
La réserve forex reste forte, avec une présence de 69,9 milliards de dollars, suffisante pour couvrir environ 11,5 mois d’importations et est un signal clé de la stabilité du secteur externe.
Sur le front de l’emploi, l’emploi a continué à être officialisés et l’Organisation du Fonds de prévoyance des employés (EPFO) a signalé un ajout net de 19,1 alouettes en avril 2025. Cependant, le taux global de participation du travail était de 54,8%, atteignant 5,6%, à un taux de chômage légèrement plus élevé dans l’incertitude de l’économie mondiale.
Alors que l’Inde passe à 2016, les économistes restent prudemment optimistes. Le rapport a souligné que le maintien de la dynamique de croissance dépend du maintien de la consommation intérieure, de l’augmentation des investissements et de la navigation de risques mondiaux potentiels.