Pour mieux comprendre le paysage évolutif de la mode canadienne, Vainquur Magazine (VQ) a lancé une nouvelle étude ambitieuse visant à déchiffrer le comportement, les préférences et les influences culturelles des consommateurs à travers le pays. Alors que l’industrie de la mode de 35 milliards de dollars du Canada continue de changer, l’étude cherche à identifier les tendances clés, à mettre en évidence les concepteurs influents et à cartographier les identités de style régional sur les marchés de plus en plus numériques et mondialisés.
(Ici, nous recevons un enquête sur la culture de la mode de Vainquur)
« Il s’agit d’une année transformatrice pour le nationalisme économique du Canada », explique Danica Samuel, fondatrice, PDG et rédactrice en chef du magazine Vainquur. «Nous aimons notre marque, nos talents et nos talents et abonnés se sont engagés à mettre en lumière la mode canadienne.
L’enquête marquant le lancement de la nouvelle division Insights de VQ est dirigée par l’analyste de données Selasi Dorkenoo. Dorkenoo vise à redéfinir la culture de la mode canadienne et à fournir des informations stratégiques qui aideront à éclairer la direction de l’édition de magazines.
« De nombreuses recherches et rapports négligent les créateurs, les marques et les pionniers faits maison qui façonnent le paysage de la mode », explique Dorkenoo. « Nous sommes ravis de travailler avec Vainqueur pour découvrir comment les Canadiens, des acheteurs occasionnels aux passionnés de haute couture, les Canadiens s’engagent avec leur style et leur marque. »
Promouvoir l’identité de la mode canadienne
Cette initiative survient alors que le Canada connaît des changements culturels pour hiérarchiser les marques locales et les talents faits maison. Montréal génère à lui seul 8 milliards de dollars de fabrication de mode et de ventes en gros, mais le pays a du mal à établir un marché de luxe compétitif mondial. Alors que les marques internationales continuent de dominer les principaux couloirs de vente au détail, les concepteurs canadiens recherchent souvent la reconnaissance et les opportunités à l’étranger.
« Lorsque la fabrication de la mode est devenue un succès en 2015, nous avons raté une opportunité importante », explique Samuel. « Lorsque l’industrie a déménagé à la mode rapide, la fabrication de Montréal était une époque où le Canada déménage avec une solide identité de la mode, mais nous nous sommes appuyés sur les importations et les tendances étrangères. »
En collectant des données complètes sur les consommateurs, les recherches de Vainquur visent à identifier les motivations qui encouragent les choix de mode canadiens et fournissent des informations importantes sur les stratégies économiques dans les principaux marchés métropolitains tels que Toronto, Vancouver et Montréal.
La lutte pour maintenir les talents canadiens
Malgré sa richesse de talents créatifs, de nombreux concepteurs du Canada ont recherché des opportunités à l’étranger. Christopher Bates opère dans DSquared2 à Milan, Dan et Dean Katen, et est basé sur une entreprise mondiale d’Italie, et Erdem Morariogul a longtemps été un élément de la scène de la haute mode de Londres.
« C’est un défi pour les concepteurs haut de gamme de construire une marque ici », admet Samuel. « Nous avons remporté des lauréats du prix LVMH tels que Thomas Tai et Vejas Kruszewski, mais nous ne soutenons pas d’autres pays. »
Pendant ce temps, le commerce de détail a connu un succès plus élevé. Des marques comme Aritzia, Canada Goose et Lululemon se développent à l’international, prouvant que les modèles de vente au détail canadiens fonctionneront.
« La question est, comment traitez-vous ces joueurs à la maison? »
Retourner le statut de capital de la mode canadienne
L’un des plus grands défis de la mode canadienne est la perte de la grande semaine de la mode. Le MMODE de Montréal continue d’organiser des événements, mais la célèbre semaine de la mode de Toronto s’est effondrée en 2016 en raison d’une perte de parrainage. Contrairement à Paris, Milan ou New York, le Canada a du mal à maintenir une plate-forme internationalement reconnue pour présenter des talents faits maison.
« La Toronto Fashion Week a abordé un arrêt qui a été reconnu sur le circuit mondial », se souvient Samuel. « Mais lorsque les sponsors se sont retirés et que la télévision de la mode a pris fin, nous avons perdu de l’élan. »
De nouvelles initiatives telles que Fashion Arts Toronto (FAT) et le RCHive Fashion Club essaient de combler le vide, mais le maintien d’une identité de mode forte nécessite le soutien d’une industrie plus large.
Encouragez les Canadiens à magasiner localement
Un aperçu important des premières données de recherche suggère que les Canadiens veulent soutenir la mode locale, mais dans de nombreux cas, ils ne savent pas par où commencer. Samuel croit que les médias jouent un rôle important dans la formation des habitudes des consommateurs.
« Nous devons changer la conversation », dit-elle. « Nous devons le présenter comme une industrie de classe mondiale, tout comme nous le faisons avec la musique, le cinéma et la littérature, plutôt que pour placer la mode canadienne comme une alternative de niche. »
L’objectif de Vainquur est de normaliser la mode canadienne dans le cadre d’une conversation mondiale. Cela signifie nous le donner plutôt que de le laisser à la liste des « marques canadiennes pour regarder ».
« Nous n’encadressons pas la mode canadienne comme une histoire de l’opprimé », soutient Samuel. « Nous le traitons comme de la mode – période. »
Étapes suivantes: Impact sur les données, les rapports et les politiques
L’enquête devrait se terminer dans les troisième et quatrième trimestres de 2025, avec un objectif d’au moins 200 répondants. VainQuur souhaite publier un rapport complet de l’industrie détaillant les résultats des différences de style régional, des habitudes de dépenses et de la notoriété de la marque. Le magazine explore également des partenariats avec des principales sociétés de recherche comme Legger, étendant potentiellement sa portée de recherche à des milliers de Canadiens.
Pour Samuel et son équipe, ce n’est que le début. «Cette recherche est un tremplin vers une conversation plus importante sur la politique de la mode, l’investissement économique et le capital culturel.
Une chose est certaine lorsque l’industrie attend des résultats parfaits. Les efforts de Bincourt pourraient jouer un rôle clé dans la formation de l’avenir de la mode canadienne.
(Ici, nous recevons un enquête sur la culture de la mode de Vainquur)