
Le président Donald Trump a annoncé vendredi qu’il prévoyait de faire le dernier pas dans la guerre commerciale en constante évolution, doublant les tarifs sur les alliages de son acier de Pennsylvanie.
Si vous essayez de comprendre les nouvelles douanières de la semaine dernière, commencez ici.
• Tarifs en acier: Trump a déclaré à des foules dans une installation américaine d’acier à l’extérieur de Pittsburgh qu’il prévoyait de prendre les tarifs sur le matériau à 50%. Trump a dit qu’il envisageait un tarif de 40%, mais les dirigeants de l’industrie lui ont dit d’aller encore plus haut.
Le 12 mars, Trump a effacé 25% de tarifs sur toutes les importations d’acier et d’aluminium remplies de représailles immédiates du Canada et de l’Union européenne et bien nécessaire de l’industrie automobile américaine.
Plus de tarifs pourraient donner à Molibund US Business un coup de pouce indispensable, mais il pourrait également augmenter les prix des éléments clés pour les entreprises de construction et les fabricants.
• Le discours difficile de la Chine: l’annonce de Steel affirme que Trump a évacué sa frustration en ligne sur les termes du commerce avec la Chine, alléguant que la Chine « a complètement violé notre accord » et implique qu’il jouera « M. Nice Guy ».
Selon Reuters, Stephen Miller, chef de cabinet adjoint de la Maison Blanche, a déclaré aux journalistes qu’il préparait de nouvelles mesures commerciales pour cibler la Chine.
• Bataille juridique: les tribunaux fédéraux ont bloqué de nombreux tarifs de Trump mercredi, mais la cour d’appel a rapidement suspendu le contrôle le lendemain. La bataille juridique s’est concentrée sur l’utilisation des situations d’urgence pour collecter les tarifs de Trump se poursuit le mois prochain.
La décision de Whiplash souligne pourquoi les détaillants et les ports ne peuvent pas s’adapter immédiatement, même si des nouvelles de tarifs sont assouplies.
• Wall Street essaie d’ignorer la guerre commerciale: la réponse globale du marché aux derniers rebondissements est relativement étouffée. Wall Street a commencé à parier que si Trump menace une guerre commerciale, il finirait par se retirer. Les investisseurs vendus au début de mai ont raté un mois historiquement solide sur le marché.
• Les «tacos» de Trump de légères points: les observateurs ont inventé le terme hypothétique selon lequel le président se retirera finalement de la menace du commerce.
Selon un haut responsable de la Maison Blanche, Trump a été pris au dépourvu par la question d’un journaliste sur le terme cette semaine et s’est mis en colère.