
PARIS (AP) – Rei Kawakubo, derrière Comme des Garcons, a donné une touche distinctement imprévisible à la couture masculine, démantelant le costume traditionnel et le refait avec sa propre image radicale.
Lors du spectacle de la Fashion Week de Paris intitulé « Suits, pas de costumes, pas de costumes », il a traversé un lieu de béton emballé et surchauffé vendredi soir, avec un regard qui a hoché la tête et a nié l’idée d’usure formelle.
Les éléments du costume classique, des vestes, des revers et des pantalons pressés ont été repensés avec des interventions architecturales vives, notamment des tailles bombées, des silhouettes en couches ou de Panier, des silhouettes de couleur inattendues ou des silhouettes.
Certaines vestes semblaient avoir été éclaboussées et remontées, mais le pantalon maigre a révélé une explosion de panneaux cachés et de motifs à travers des fermetures à glissière soigneusement placées.
Les couches sont empilées de vestes taillées empilées sur des chemises plissées, des courtepointes et des shorts. Les tricots ont été déchiquetés, reconstruits et reflétaient un sentiment d’obstacles dans le cadre personnalisé. Les accessoires ont encore stimulé l’excentricité. Le modèle portait une grande et grande quantité de capuchon, fabriquée à partir d’une longue perruque tressée et d’un tissu assorti associé à des chaussures formelles.
Cette collection a suscité la nécessité de quelque chose pour se transformer dans un temps instable. L’atmosphère n’a fait qu’améliorer le message de la collection. Dans le monde de Kawakubo, les costumes ne sont pas uniformes en ajustement, mais la toile pour la confusion.
Lorsque les invités se sont répandus pendant la nuit, des applaudissements ont tonna les créateurs qui ont gardé la certitude de la mode à l’envers.