Tiktok, détenue par la société chinoise Bytedance, est au centre de la controverse aux États-Unis depuis quatre ans en raison des affens sur les données des utilisateurs potentiels par le gouvernement chinois.
En conséquence, les utilisateurs américains se sont souvent retrouvés pris au milieu de cette tension. Plus tôt cette année, l’application a connu un débouché temporel aux États-Unis selon lequel des millions d’utilisateurs en suspense avant qu’il ne soit rapidement restauré. Tiktok est retourné sur l’App Store et Google Play Store en février.
Un certain nombre d’investisseurs sont en concurrence pour l’opportunité d’acheter l’application, et si un accord devait aller de travers, les activités américaines de la plate-forme pourraient faire grimper sa valorisation à plus de 60 milliards de dollars, comme estimé par le vice-président principal de CFRA Research, Angelo Zino.
Après des discussions approfondies et après que Trump a prolongé la date limite de l’interdiction de Tiktok pour la quatrième fois, il semble que des progrès aient été réalisés. La semaine dernière, le président Trump a annoncé que le président XI de Chine avait donné son approbation d’un accord Tiktok, qui permettrait à un consortium d’investisseurs américains de contrôler la plate-forme. ByTedance statue publiquement qu’il garantirait que la plate-forme reste à la disposition des utilisateurs américains.
Qui s’approchera de Tiktok aux États-Unis?
Récemment, un accord de «cadre» a été signalé entre les États-Unis et la Chine, avec de nouvelles informations a révélé qu’un consortium d’investisseurs, notamment Oracle, Silver Lake et Andreessen Horowitz, pourrait superviser les opérations américaines de Tiktok.
Ces investisseurs devraient détenir une participation de 80% et les actions restantes appartiendront aux parties prenantes chinoises. Le conseil d’administration de la nouvelle entité serait principalement composé de membres américains, avec un membre soutenu par le gouvernement américain.
Au cours du week-end, Trump a mentionné dans une interview de Fox que Rupert Murdoch et son Lachlan sont « probablement » Gooy pour jouer un rôle, avec le PDG exécutif d’Oracle, Larry Ellison et Dell Technologies, Michael Dell.
Événement TechCrunch
San Francisco
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27-29 octobre 2025
Oracle est susceptible de gérer les mesures de sécurité et de sécurité de l’application. L’entreprise fournit déjà des services cloud pour TikTok et gérer les données des utilisateurs aux États-Unis, Oracle a précédemment fait une offre pour Tiktok en 2020.
De plus, dans le cadre de la disposition proposée, Oracle reproduirait et sécuriserait une nouvelle version américaine de l’algorithme, selon un responsable de la Maison Blanche. Les propriétaires de Tiktok basés aux États-Unis pourraient louer l’algorithme de ByTedance, qu’Oracle se rétinera alors.
ByTedance n’aura pas accès à des informations sur les utilisateurs américains de Tiktok ou toute influence sur l’algorithme américain.
Ce que les utilisateurs aux États-Unis devraient savoir
Les rapports de Bloomberg indiquent que lorsque l’accord est finalisé, l’application Tiktok sera interrompue aux États-Unis et que les utilisateurs devront passer à une nouvelle plate-forme. Cependant, les spécificités de cette plate-forme restent largement claires, y compris ses fonctionnalités et en quoi il sera diffusé de l’application d’origine.
Comment sommes-nous arrivés ici
Pour bien comprendre ce drame à enjeux élevés, nous reviendrons d’abord le calendrier de la relation tumultueuse de Tiktok avec le gouvernement américain, ce qui se traduit par diverses batailles juridiques et négociations.
Le drame a commencé en août 2020, lorsque Trump a signé un décret pour interdire les transactions avec la société mère Bytedance.
En mois plus tard, l’administration de Trump a cherché à forcer une vente des opérations américaines de Tiktok à une entreprise basée aux États-Unis. Le contenu principal comprenait Microsoft, Oracle et Walmart. Cependant, un juge américain a temporairement bloqué le décret de Trump, permettant à Tiktok de continuer à fonctionner pendant que la bataille juridique se déroulait.
Les choses ont commencé à progresser encore plus l’année dernière après la transition vers l’administration Biden. Après que le Sénat ait adopté le projet de loi contre Tiktok, le président Joe Biden l’a signé.
Responsable, Tiktok a poursuivi le gouvernement américain, contestant la constitutionnalité de l’interdiction et le fait que l’application et ses utilisateurs américains avaient leurs droits de premier amendement violés. La société a toujours nié qu’elle représente une menace de sécurité, affirmant que ses données stockées aux États-Unis se conforment à toutes les lois locales.
Avance rapide à Teday: Trump a fait un changement de terme à un terme HIST et essaie de réaliser un accord de propriété de 50 à 50 entre Bytedance et une entreprise américaine.
Il y a eu plusieurs contentements, notamment l’offre populaire pour Tiktok, un consortium organisé par le fondateur de Project Liberty, Frank McCourt. Ce groupe a le soutien du cabinet d’investissement Guggenheim Securities et du cabinet d’avocats Kirkland & Ellis. Les partisans incluent le co-fondateur de Reddit, Alexis Ohanian, la personnalité de la télévision et l’investisseur Kevin O’Leary, inventeur du World Wide Web Tim Berners-Lee, et le chercheur principal David Clark.
Un autre groupe, appelé l’American Investor Consortium, est dirigé par le fondateur de l’employ.com, Jesse Tinsley, et comprend le co-fondateur de Roblox, David Baszucki, le cofondateur numérique d’Anchorage Nathan McCauley et le célèbre Youtuber MRBEast.
Les autres en cours d’exécution incluent Amazon, Applovin, Microsoft, Perplexity AI, Rumble, Walmart, Zoop, le PDG de Trainvision, Bobby Kotick, et forment le secrétaire américain du Trésor Steven Mnuchin.
L’histoire a été mise à jour après la publication.
