Faites-nous part des mises à jour gratuites
Inscrivez-vous simplement à Agriculture Myft Digest et il sera livré directement à votre boîte de réception.
Bruxelles suggère que les fruits scolaires, les légumes et le lait devraient être «fabriqués en Europe» dans le cadre d’une poussée plus large pour soutenir les industries nationales, de la défense à l’agriculture.
La Commission européenne a déclaré mercredi que, selon le projet de proposition observé par l’ère financière, le lait, les fruits et les légumes des écoles devraient être produits avec un signal pour acheter plus localement en Europe. Le régime finance environ 220 millions d’euros de produits par an.
La clause « Made in Europe » reflète la pression pour que les institutions et les entreprises européennes hiérarchirent les biens nationaux sur les importations afin de stimuler l’industrie qui établit le drapeau du bloc. La proposition sera également proposée mercredi alors que le comité se prépare à anéantir les fonds agricoles dans le cadre de son prochain budget commun.
Bruxelles a récemment introduit la clause « Made in Europe » dans ses nouvelles règles d’approvisionnement de la défense et les directives d’aide d’État pour la technologie propre. C’est principalement le résultat du lobbying dirigé par la France. Nous avons également fixé des objectifs intérieurs pour la production de matières premières importantes et d’autres produits.
La disposition de l’école prévoit également des produits de petits producteurs et de fermes avec une «empreinte à faible climat» prioritaire, mais fait partie d’un examen des règles du marché agricole du bloc. Le régime est financé par le budget commun du bloc et sera maintenu dans le prochain plan de dépenses de l’UE à partir de 2028, selon le projet de proposition.
« C’est formidable pour les enfants de savoir qu’il s’agit d’une pomme, et cette pomme vient d’un arbre à 5 km de moi », a déclaré un responsable de l’UE.
L’UE est un exportateur net de lait et de produits laitiers, mais il importe environ deux fois la quantité de fruits et légumes qu’il exporte. Ses plus grands fournisseurs sont les États-Unis, le Maroc et Türkiye.
Selon une analyse de la Commission actuelle des schémas scolaires, 17 pays membres priorisent déjà l’offre locale ou régionale.
Le régime restera dans le financement de la politique agricole commune du bloc. Ceci est évalué à 36,9 milliards d’euros, représentant environ un tiers du budget conjoint de l’UE.
Les agriculteurs ont affirmé qu’ils maintiendront un soutien financier pour assurer la sécurité alimentaire malgré des priorités concurrentes telles que l’industrie et la défense.
Le comité propose que le soutien direct des revenus aux agriculteurs (d’une valeur d’environ 291 milliards d’euros) tombe dans la clôture de la bague, mais les États membres proposent plus de flexibilité que de soutien aux besoins supplémentaires, tels que la formation et le financement dans des régions éloignées.
Les paiements aux agriculteurs continueront d’être distribués en fonction de la taille de la ferme, mais ils doivent être effectués en fonction de l’échelle de diapositives qui profitera le plus aux petits exploitants. Selon un autre projet, les fonds sont de 100 000 euros par agriculteur, soit 100 000 euros par an, plafonnant un meilleur soutien cible.
Il prévoit également la première fois que les agriculteurs peuvent utiliser des fonds de l’UE pour payer les travailleurs de l’échange afin d’encourager les femmes à rester dans leur profession si les agriculteurs sont malades ou doivent prendre un congé de maternité.
Le comité a refusé de commenter la proposition.