L’exposition pop-up de Vestido présente sept artistes et leur travail, mettant en évidence les nombreuses histoires que les vêtements tient
J’ai toujours considéré la mode comme une forme d’art. Là, les vêtements deviennent une toile pour l’expression de soi et la créativité. De la fabrication de tissus et du choix des couleurs et des fils aux designers qui réalisent leur vision, la mode est un processus aux multiples facettes. En fin de compte, tout coule sur le porteur qui transforme chaque pièce en reflet de son voyage personnel.

Vestido, un service de location de mode organisé, est l’un des pionniers de la mode durable aux Philippines. Cet engagement encouragera les équipes à encourager davantage de personnes à être conscientes de leurs achats en choisissant de louer et de réutiliser. Après tout, chaque pièce de mode raconte une histoire unique à chaque fois qu’elle est usée.

Pour coïncider avec la foire de l’art en cours, Vestido a transformé l’espace en une exposition intitulée « Worn Stories: A Lens on the Lives of the Lives ». L’exposition rassemble sept artistes, chacun sélectionnant une pièce de la collection de Vestido et la traduit en une forme d’art visuel, qui peut être des photographies, des vidéos ou des installations.
L’exposition met en vedette cinq photographes, chacun offrant une profondeur et présente une œuvre qui met le spectateur au défi de s’engager. Ma première rencontre a été Colin Dansel. Les photographies en noir et blanc de Colin Dansel utilisent habilement la lumière et l’ombre pour mettre en évidence la silhouette des vêtements. Le Regent David, basé à Tokyo, né à Manille, défie les coutumes en tournant des poses masculines intimes et audacieuses tout en montrant ses vêtements sans pilote.
Andrea Genota crée une humeur rêvée dans vos photographies à travers les nuances de couchers de soleil chauds. Le mouvement doux du modèle, décoré de vêtements, semble presque palpable. Chaque photo évoque un sentiment d’espoir et de force et favorise la croissance personnelle. Pendant ce temps, Shaila Luna se concentre sur les détails capturés dans un moment éphémère. En utilisant des titres tels que Vesper et Hush, elle a intelligemment documenté ces cas silencieux, invitant les téléspectateurs à réfléchir à la beauté de la tranquillité et de la subtilité.

Kamille Robiu du Pont, né en français, capture l’énergie d’une femme à travers l’éclairage rouge dans toutes ses photos pour cette exposition. Sa série, intitulée « Ether », représente ce qu’elle décrit comme « un espace invisible, indiscipliné et inter-mondes ». Son sujet n’est pas lié par le temps ou l’espace, mais les vêtements qu’ils portent portent des histoires du passé tout en vous donnant un aperçu de ce qui se passe.
Dans certaines régions de l’exposition, les visiteurs présenteront des clients et des fournisseurs de vestido et trouveront des films créés par Judd Figurerr. Tourné sur une caméra non-HD, Judd intègre intentionnellement des textures et des céréales dans ses vidéos, visant à établir un lien plus authentique avec ses téléspectateurs.

Enfin, l’artiste interdisciplinaire Mano Gonzalez a plongé profondément dans Bestid en s’immergeant dans sa garde-robe. À partir de cette expérience, il a créé deux installations, à la fois la sculpture et le fluide, présentant une nouvelle façon d’infuser la mode avec une nouvelle vie.
« Worn Stories: A Lens on the Lives of Dress » se déroulera de 11h à 17h le 23 février. L’exposition souligne que chaque pièce de mode apporte non seulement une histoire, mais de nombreux chapitres précieux, chacun contribuant à son histoire unique. Ces œuvres constantes évoluent, et à chaque usure, elles parlent de nouvelles expériences et changent avec le temps.
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