Alan Saas, diplômé en informatique, attend avec impatience le charme de la quatrième fois pour faire du rêve chinois une réalité.
Pour un jeune homme ayant grandi dans la petite ville de Céleste, dans l’est de la France, ce lointain pays asiatique semblait magique. Mais ce rêve ne s’est pas réalisé et essayer de trouver un emploi en Chine était loin d’être attrayant.
M. Saas, aujourd’hui âgé d’une quarantaine d’années, a tenté à trois reprises au cours des 15 dernières années de trouver un emploi technologique approprié en Chine. Ces efforts ont échoué pour diverses raisons, notamment un mauvais timing, de bas salaires et le manque d’opportunités appropriées au sein de l’industrie.
Mais ces derniers temps, il se sent plus optimiste. Alors que la Chine propose des offres de visa plus conviviales et semble prête à faire de nouveaux progrès technologiques, Saas est prêt pour une quatrième tentative.
La Chine a également doublé. Dans un contexte de guerre technologique mondiale et de concurrence croissante pour les talents, le gouvernement chinois s’est engagé à devenir un pôle d’attraction pour les immigrants qualifiés du monde entier dans son plan de développement économique et social pour les cinq prochaines années.

